- Charlotte & Gil J Wolman
Les Mannequins séparés, 1980, - Vídéo monocanal, noir et blanc, so, 39 min
Arxiu Charlotte Wolman, París, © Gil Joseph Wolman, VEGAP, Barcelona, 2010. Source arttattler.com
Charlotte Wolman avant de mourir a pu connaître, et contribuer à, la recension de la première grande rétrospective européenne de l’œuvre de Gil J. Wolman, lui-même disparu en 1995. L’exposition intitulée « Gil J Wolman, I am immortal and alive » [1], fut organisée par le Musée des Arts Contemporains de Barcelone (MACBA), sous le commissariat de Frédéric Acquaviva et de Bartomeu Mari, et pendant une durée de six mois, de juin 2010 à janvier 2011, rendit accessible au public quelques deux cent cinquante œuvres de l’artiste, parmi lesquelles des œuvres co-signées avec Charlotte Wolman.
Puis pendant quatre mois, de janvier à mai 2011, l’exposition fut présentée au Portugal, au Musée Serralvès de Porto.
Source © artdaily.org : MACBA Devotes Exhibition to Essential Artist of the Late-20th Century.
Widow (R) and daughter (L) of French artist Gil Joseph Wolman, Charlotte (R) and Barbara (L) Wolman pose for photographs as they attend the presentation of the exhibition ’Gil J Wolman. I am Immortal and Alive’ at the Museum of Contemporary Art in Barcelona, Spain, 03 June 2010. The exhibition, running from 04 June 2010 until 09 January 2011, features 250 artworks by Wolman (1929-1995). EPA/TONI GARRIGA.
« La veuve et la fille de l’artiste français Gil Joseph Wolman, Charlotte (à droite) et Barbara (à gauche), posent pour les photographes pendant le vernissage de l’exposition « Gil J Wolman. je suis immortel et vivant », le 3 juin 2010, au Musée d’art contemporain de Barcelone, en Espagne. L’exposition qui a lieu du 4 Juin 2010 jusqu’au 09 Janvier 2011, dispose de 250 œuvres de Wolman (1929-1995). EPA/TONI GARRIGA. »
http://www.macba.cat/es/expo-gil-wolman
Charlotte Wolman elle-même artiste et auteur fut la partenaire de création de son compagnon qu’elle rencontra lors des quatre récitals Lettristes qui eurent lieu en novembre 1958 au Tabou (cabaret parisien de l’Après-Guerre qui fit les grandes heures de la Rive Gauche existentialiste et lettriste).
De nombreuses œuvres co-signées sont citées et datées, parmi lesquelles certaines fameuses de « la séparation », telle la vidéo Les Mannequins séparés, en 1980... ainsi que d’autres, et qui leur auraient permis de vivre, — à lire la bio-bibliographie de Gil Wolman mise à disposition par la galerie Natalie Seroussi, 34 rue de Seine à Paris. La bio-bibliographie proposée par Frédéric Acquaviva pour la rétrospective au MACBA attribue également un rôle important à Charlotte Wolman — et à sa rencontre par Gil Wolman.
Le rapport d’une dérive en Haute-Vienne à laquelle Charlotte et Gil Wolman s’étaient adonnés ensemble, dans les années 1980, et dont ils firent un livre photocopié intitulé Haute Vie, est cité dans le site lecture.fr)
Défense de mourir , Joseph Wolman ; édi Allia, Paris, 2001. (suivre le lien)
Exrtait :
Source Olivia Clavel (facebook)
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